Résidence croisée de co-production
Expérimentation, co-production et mise en expérience itinérante et connectée
Synergie des pratiques de l’art et des savoir-faire culturels pour la constitution d’un patrimoine transculturel de l’art
Une mise en œuvre croisée et une itinérance du festival entre l’Europe et l’Asie
Les Résidences croisées recherche-création
Deux semaines de résidence permettent la mise en interaction des savoir-faire portés par les artistes invités et ceux représentés par les artistes locaux qui co-produisent une semaine de programmation d’expériences transculturelles avec les publics du festival local et son édition à distance.
Les artistes invités travaillent en collaboration avec les artistes sur place et à distance avec leurs homologues qui interagissent en fonction de l’évolution de la résidence. Ils sont les artistes ambassadeurs du projet et sont en relation avec une ou des institutions partenaires dans leur pays.
Le festival en présentiel et à distance en Europe et en Asie
Dans une logique de mutualisation de la production, de la réduction des coûts de transport et de l’impact du projet sur l’environnement, la co-production du festival, programmée conjointement dans les pays participants, et diffusée en temps réel par vidéo, permet de mutualiser la communication, de donner au projet sa dimension événementielle et de fédérer les partenaires dans leur engagement au fur et à mesure du développement des éditions du festival.
La Bibliothèque des savoir-faire et de la transculturalité par l’art
Chaque édition du festival permet d’identifier les savoir-faire culturels en Europe et en Asie avec lesquels les artistes travaillent et dont les expérimentations sont restituées lors du festival et par la production d’archives d’expériences multisupport qui viennent construire le fonds documentaire de La Bibliothèque des savoir-faire et de la transculturalité.
Mise à disposition des chercheurs, artistes et des publics du monde entier, accessible en ligne et implémentée à chaque édition du festival, la Bibliothèque permet d’établir un catalogue des pratiques et des savoir-faire permettant d’identifier un commun possible entre l’art et les savoirs culturels se constituant comme patrimoine transculturel à l’image du potentiel d’hybridation et de la transculturation par l’art.